Mon livre des victoires

dimanche 26 octobre 2008

Encore une fois...

Ben oui, encore une fois j'ai cru que mes désirs pouvaient se réaliser. Encore une fois, la baloune m'a pétée en pleine face.

J'ai cru naïvement encore que les gens pouvaient changer et comprendre. Mais non.

On m'a fait énormément de peine, je n'en dors plus.

La vie peut parfois être plate, je ne voulais pas que les choses en arrivent là.

C'est la vie...
posted by porcelaine at 13 h 49

8 Comments:

Salut Porcelaine,

La vie est trop courte pour s'en faire avec ce que les autres pensent. Mais ne désespère pas. Tous le monde peu changer, mais c'est une question de temps. Parfois ça prend des années, mais ça peut toujours arriver.

Mais en attendent, profites de ton bonheur et ne le laisse pas gâcher par les autres. Ce n'est pas égoïste que d'être heureux!
Pense à toi. Ou plutôt pense à rien! et profite de chaque petit moment PRÉSENT.

Fait attention à toi
ton amie Glycérine

28 octobre 2008 à 16 h 43  

Hum, huuummmm...

Bonsoir Boul'DeLaine, canadienne.

Bien que ce contact soit virtuel, et néanmoins réel, sincèrement, et du bout des doigts, je vous embrasse.

Demain, le soleil se lèvera pour Vous et moi...
Alors, simplement :
Bon lever de soleil au Canada !

Pensée sincère d'un inconnu, ému de France. Richard.

28 octobre 2008 à 16 h 43  

Boul'DeLaine, voici en partage un beau souhait pour réchauffer votre Joli, Coeur...
Bizzzzzzzzzzz Richard.

Je vous souhaite...
Des Rêves à n'en plus finir,
et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns.
D'Aimer ce qu'il faut aimer,
et d'Oublier ce qu'il faut oublier.
Des Passions, des Silences.
Des Chants d'oiseaux et des Rires d'enfants.
De Résister à l'enlisement, à l'indifférence,
et aux vertus négatives de notre époque.
Surtout d'être Vous…

Jacques Brel

28 octobre 2008 à 16 h 46  

Voici un texte que vous apprécierez peut-être...

Je vous embrasse Joli coeur de Boul'DeLaine... Richard.

(Ah, au fait, aviez-vous joint Martine Tempier ?)

Extraits de discours de différents auteurs
Traduits par Vipassanasangha
____________



Il est très facile de juger, mais bien plus difficile d'accepter chaque moment tel qu'il est, juste comme il est, sans vouloir le changer, le modifier d'une façon ou d'une autre. Nous nous évaluons, nous comparons sans cesse, d'une manière plus ou moins subtile. Il est bien plus bénéfique d'accepter chaque moment, le laisser être, nous permettre d'être nous aussi. En général, nous résistons ou refusons ce qui est. Mais nous ne sommes pas ici pour rendre les choses parfaites.

Lorsque nous commençons à accepter chaque moment juste comme il est, les autres justes comme ils sont, nous-mêmes comme nous sommes, alors chaque instant est parfait. C'est un grand soulagement.

L'acceptation n'est pas la résignation, la passivité, l'abandon, c'est plutôt permettre aux choses d'être sans les rejeter. Le Dharma nous enseigne justement de ne rien exclure. Mais la réalité est que nous ne pouvons ou ne voulons pas la supporter.

Il ne faut pas vouloir nous accepter quand nous changerons ou quand nous évoluerons. Nous devons nous accepter maintenant tels que nous sommes. Il en est de même pour les autres. Nous ne devons pas chercher à les changer, mais les accepter comme ils sont maintenant.

En réalité, le changement n'est possible que quand nous nous acceptons. Nous devons permettre et être avec chacune de nos expériences directement. Comment pouvons-nous y parvenir ?

En étant attentif. L’attention n'ajoute rien, ne juge pas, ne compare pas. Grâce à l'attention nous pouvons être conscients de ce qui est en train de se passer, de chaque moment, et nous pouvons observer comment nous y réagissons. Est-ce que nous nous y accrochons ? Est-ce que nous rejetons ? Que ressentons-nous dans notre corps ? Y a-t-il des contractions ou sommes-nous ouverts ?

Nous avons tendance à nous crisper quand nous ressentons des sensations désagréables, par conséquent nous ne leur permettons pas d'être complètement. Du fait des contractions, nous créons un blocage et nous ne pouvons voir clairement ce qui se passe. En fait nous essayons d'agir en sorte que les choses soient différentes, au lieu de les laisser être, de les observer avec attention, que ce soient des douleurs, de l'agitation ou de la tristesse. Si au lieu de les bloquer, de lutter contre, nous les acceptons, elles commencent à se calmer car l'énergie utilisée pour lutter et se contracter est libérée.

Accepter ne signifie justement pas abandonner. Lorsque chaque chose est vue clairement, avec compréhension, il est possible d'agir sagement. Il s'agit d'accepter tous nos états émotionnels et mentaux, ainsi que nos réactions à leur égard. Nous nous apercevrons que notre acceptation leur permettra de les dissiper. Il faut les inclure au lieu de les exclure, parce que les exclure consomme beaucoup d'énergie, et nous avons tendance à utiliser tant d’énergie en allant à l'encontre de ce qui existe, en rejetant, en niant, en nous crispant. C'est épuisant.

Bien souvent, nous ne sommes même pas conscients de le faire. Nous sommes le plus souvent sévères avec nous-mêmes, nous nous jugeons durement. Nous manifestons de l'hostilité envers certaines parties de nous-mêmes. Nous devons être gentils et nous donner de l'amour.

Comment cultiver un esprit qui accepte et ne juge pas alors que c'est une habitude conditionnée très ancrée en nous de comparer, de juger et de rejeter ?

C'est à nouveau l'attention. Observer simplement ce qui apparaît, le reconnaître sans concept, sans condamner, sans rejeter, sans blâmer. Être attentif. Au fur et à mesure, nous cultiverons l'amour bienveillant et la compassion, et notre faculté d'acceptation grandira et s'approfondira incluant les infimes parties de nous-mêmes que nous rejetons. Ce sera une guérison, un soulagement, la paix. Cela demande du courage et de la confiance de regarder profondément en soi, d'expérimenter et de voir précisément la colère, la peur, l'avidité, la tristesse, au lieu de vouloir s'en débarrasser. C'est un processus de purification.

Il n'est pas possible de n'avoir que des expériences agréables et d'éviter celles qui sont déplaisantes. Il y a des expériences agréables, désagréables et neutres. Nous devons les laisser être, sans vouloir les modifier. C'est notre conditionnement qui nous pousse à ne vouloir accepter que ce qui est plaisant et à rejeter ce qui est déplaisant.

L’acceptation est très subtile. Nous pouvons penser que nous acceptons alors qu'en fait nous nions ou sommes indifférents. Ce n'est pas accepter. L'acceptation est inconditionnelle, elle dit oui : oui à la colère, oui à la rage, oui à la haine, sans reproche.

Il est très utile de comprendre que ce n'est pas moi qui suis en colère, qui ai de la haine. Ce n'est pas ma colère, ma rage. C'est uniquement l'énergie de la colère, de la haine, de la rage. Ce n'est pas personnel. Nous nous identifions à ces énergies : ma colère, ma haine, ce qui les renforce et nous empêche de les évacuer. C'est très douloureux. Quand nous acceptons réellement ces états mentaux, notre cœur s'ouvre et l'amour devient possible. Quand nous acceptons le chagrin cela libère un espace pour la joie.

L'une des choses les plus difficiles à accepter est le changement. Nous savons que chaque chose change mais nous voulons que les choses soient solides, stables, sécurisantes et qu'elles ne changent pas, bien qu'en réalité elles ne soient pas contrôlables. Les choses changent parce que les causes et les conditions changent. Nous n'aimons pas lorsque notre corps change, nous luttons pour ne pas vieillir. Nous souhaitons que le présent dure et personne ne veut mourir. Cependant nous sommes impermanents, et chaque instant est impermanent. Nous devons accepter l'impermanence qui fait partie de notre vie. Nous souffrons parce que nous nous accrochons et que nous voulons contrôler les choses.

Le bouddha a dit que le moyen de ne plus souffrir est de lâcher prise, de cesser de nous accrocher, de nous attacher. L'attachement est un fort conditionnement. À quoi devons nous renoncer ?

À nos idées, à nos concepts, à ce que les choses se déroulent selon nos souhaits, à être parfaits, à nos expériences. Nous ne pouvons pas nous forcer à lâcher prise, comme nous ne pouvons pas nous forcer à nous endormir. Cela prend du temps. C'est un processus.

Nous avons des difficultés à laisser les choses être parce que dans notre culture nous sommes habitués à faire, à modifier, à améliorer. Il nous est difficile de rester immobile, juste être, sans essayer quoique ce soit. Pouvons-nous simplement nous asseoir ? Simplement marcher ? Manger ? Être avec chaque moment ? Autoriser chaque instant à être juste comme il est ? Le voir, le reconnaître, y être pleinement attentif jusqu'à ce que le moment suivant apparaisse ? Permettre à chaque moment de naître et de mourir sans rien faire, seulement lui permettre de se déployer qu'il soit agréable, désagréable ou neutre ?

Cela n'est pas facile et parfois nous avons l'impression que ce n'est pas possible. Il nous faut du courage et beaucoup de patience. Accepter nous donne un sentiment de joie, de liberté, de sécurité. Nous nous sentons moins séparés des autres et du monde. Nous pouvons agir avec respect et sagesse.

Les choses changent selon leur propre rythme. Si nous abandonnons notre résistance, nous libérerons l'énergie nécessaire pour être pleinement vivants et heureux.

28 octobre 2008 à 16 h 53  

Boul'DeLaine...

J'aurais probablement mieux fait de te dire simplement ceci :

En Toi, et en chacun de nous, demeure l'existence d'une force de résister bien au delà, de ce qui nous a fait souffrir... même quand nous nous croyons (à tort) inconsolable, et faible.

Je "T" ' Embrasse, cousine canadienne. Richard.

28 octobre 2008 à 17 h 06  

Un simple mot: MERCI!!!
:0)

28 octobre 2008 à 18 h 30  

Bonjour ! Boul'delaine...

Ayant terminé de recopier un texte issu du site de la fondation Kousmine, afin de le joindre à un dossier contenant le livre, dont je vous avais envoyé l'accès sur Picasa, j'ai pensé à vous, "cousine". D'ailleurs, je vous souhaite plein de belles balades dans ce beau pays du Canada.

Voici le texte, dont celui de Martine Tempier, que j'avais joint par téléphone. Bonne journée Boul'delaine. Richard. (précision : Richard P, ce n'est pas moi...)

Dr Catherine KOUSMINE : Lauréat de la Faculté de Médecine de l’Université de Lausanne.
Née en 1904, la Dr C. Kousmine a fait toutes ses classes à Lausanne, et a obtenu son baccalauréat scientifique en 1922 (mathématiques spéciales), ce qui l’a préparée à une pensée logique. En 1928, elle a obtenu son diplôme professionnel fédéral avec le titre de Lauréate de la Faculté de médecine de Lausanne. En 1934 elle a ouvert son cabinet médical, après six années de formation hospitalière, et l’obtention du titre de médecin FMH. De 1936 à 1946, elle a fait du travail de recherche avec le professeur Guido Fanconi, internationalement connu, puis elle a continué son effort à son cabinet. Cela l’a amené à toujours mieux comprendre la nature et la cause des maladies dégénératives de l’homme, et à appliquer aux traitements de malades, les acquisitions de la biologie.

KOUSMINE
Une clé pour la santé
« J'aimerais que chacun, comprenne,
• qu'il ne peut compter que sur lui-même,
• qu'il est responsable de sa personne,
• et que le corps dont il dispose, doit être géré comme n'importe quel autre bien. » Dr. C. Kousmine.

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Témoignages :

Tout a commencé en 1992 alors que je préparais un brevet d’état d’éducateur sportif. J’avais 38 ans. Je n’avais surtout pas le temps d’être malade et avec la complaisance d’un docteur je soignais successivement angines, bronchites, pneumonie, phlegmons dans la même année à grand renfort d’antibiotiques. Un matin, je n’ai pas pu me lever. Affolée, j’appelle le docteur qui, avant l’hospitalisation, me soumet à un bilan sanguin complet. Diagnostic:polyarthrite rhumatoïde évolutive(PCE), Latex - Waler Rose +, CréatineC+…

Pour me rassurer, mon docteur m’annonce sans ménagement « ma petite dame, je vous envoie chez un rhumatologue pour un traitement à base de cortisone, c’est trop grave, dans deux ans vous êtes en fauteuil roulant!!!». Je vous laisse imaginer mon désarroi et ma peur.

A ce moment-là, j’ai eu un déclic. Je me suis souvenue d’un livre dans ma bibliothèque qui traitait de la PCE, «Sauvez votre corps» que j’ai avalé en une journée. Le soir même, j’appelais la Fondation en expliquant à Josiane M…. en pleurant ma situation. Celle-ci me donnait les coordonnées du médecin Kousminien le plus proche, le Dr B, à …250 km. Au premier contact téléphonique RV dix jours plus tard pour une consultation de 2 h 30. Je me souviens d’avoir promis au Dr B. de faire le marathon de New-York avant d’être paralysée. Il a dit à mon mari «Elle s’en sortira».

J’ai suivi à la lettre les conseils et le traitement KOUSMINE durant deux ans en rajoutant les huiles essentielles, du sport pratiqué de manière intensive selon les saisons avant de revoir mes analyses devenir normales.

Cela fait maintenant 10 ans et avec le recul je dis souvent aujourd’hui «J’ai eu la chance de tomber malade» et de tomber entre les mains du Dr B….
A l’approche de mes 50 ans j’aime me lancer des défis, autant de pieds de nez à la médecine allopathique; je rentre du Rallye Aïcha des Gazelles où j’ai parcouru 2500kmdans le désert marocain, Paris-Dakar féminin, 24èmesur 50 équipages. Je me prépare pour réaliser «Chicago – Los-Angelès» à vélo – juillet Août 2003 –3200kmsur la mythique «Route66». Et je me suis promis un marathon l’année de mes 50 ans en2004.

Je tiens par ce témoignage, à donner l’espoir à toute personne frappée par la maladie, quelle qu’elle soit. La volonté et le courage font des miracles, ainsi que la méthode KOUSMINE. Il faut y croire… La vie est belle et mérite vraiment d’être vécue !!!!

mai 2002. Martine TEMPIER, guide de pays.

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A tous,

Je me présente : kinési, ayant par la maladie (S.E.P.) dû laisser mon cabinet, car dans l’incapacité de le tenir à l’époque.

En effet, en 1987, j’ai présenté une somme de symptômes (asthénie, anorexie, perte pondérale, troubles de l’équilibre, de la vue…).

Dès lors, examens sur examens, sans pouvoir établir un diagnostic précis. Il faut dire que certains médecins, vu la gravité de celui-ci, le donnent difficilement, y compris les amis.

Puis, en 1989, j’ai fait une crise d’épilepsie (grand mal) qui m’a valu l’entrée en urgence à l’Hôpital cantonal de GENEVE. Suite à celle-ci, et après résonance magnétique nucléaire, prouvant une zone démyélinisée dans le cerveau, expliquant secondairement l’épilepsie, on a conclu à une S.E.P. Depuis, je suis bien évidemment pensionné avec une carte d’A.H.H. à 80%.

Verdict lourd, mais à mon avis, il est bon de le connaître, de l’accepter, pour mieux combattre la maladie, quelle qu’elle soit. Bien sûr, j’ai commencé par la médecine lourde : cortisone. Je fus bien entouré par un monde médical classique.

Heureusement, j’ai eu la chance d’étudier pendant plusieurs années des médecines énergétiques (acupuncture…), et donc d’être guidé vers des solutions parallèles. D’autant plus que, pour le moment, la médecine cherche, mais n’a pas trouvé encore de traitement valable dans plusieurs domaines, et notamment la S.E.P.

Alors, pourquoi ne pas voir ailleurs, car il y a souvent des résultats, et de plus aucun médicament iatrogène. Personnellement, je dois mon renouveau à un ensemble de facteurs liés les uns aux autres :

- sur le plan physique : je suis un adepte endurci depuis Juillet 1989 de la Méthode KOUSMINE. Bien entendu, je suis suivi médicalement par un disciple de Mme KOUSMINE. Hygiène alimentaire et vie stricte. La suivre à 100%.

Je vais voir (surtout aux changements de saisons) par moi-même un médecin acupuncteur homéopathe. Depuis, constantes améliorations, ce qui me fait douter parfois d’être malade !! J’étais …

- sur le plan psychique : j’avais, avant la maladie, beaucoup de stress (vie de couple difficile - divorcé depuis - relation avec associé du cabinet désagréable, etc…) Les stress sont-ils d’ailleurs en partie responsables de la maladie ? On peut le supposer.

Depuis, je vis donc seul, travaille petitement à domicile, toujours en kinésithérapie. C’est pourquoi l’entourage est très important. Il peut être inconsciemment destructif ; ce qui a été pour moi le cas, et dans ce dernier, il vaut mieux, selon le vieil adage, être seul que mal accompagné. Maintenant, j’ai une véritable qualité d’environnement, de bons amis avec qui je partage des moments agréables, ceux-ci contribuant à ma renaissance.

[… … …]

Pour trouver la voie de la guérison, cela est difficile à admettre, mais je le ressens ainsi, il ne faut jamais désespérer, car la maladie est une rude épreuve pour vous faire progresser, à partir du moment où nous ne la prenons pas à rebrousse-poil.

Quels chemins j’ai parcourus depuis 1989 !! Physiquement, certes, mais surtout psychiquement. La vie s’avère autre ; l’échelle des valeurs fondamentales complètement changée : amour grandissant et chute de la vie matérielle, la présence de cette dernière étant, somme toute, obligatoire sur terre.

[… … … ]

Puisse cette lettre aider le plus grand nombre, si telle est sa destinée.

Richard P.

29 octobre 2008 à 09 h 56  

Bonjour "Cousine"...

Bon ben, comme y'a pas de nouvelles de vous, alors c'est moi qui vous en demande ; comment allez-vous ce matin, Boul'delaine ???

J'espère que vous allez bien, sous le soleil canadien...

J'ai récemment créé une asso pour pratiquer le massage de relaxation, de bien-être à domicile. J'envisage de contacter une asso de SEP de ma région, pour leur proposer mes services à des prix très abordables (50% de remise), et d'offrir une fois par semaine à une personne souffrante, une séance de massage.
Si vous avieez été prôche de chez moi, je vous en aurai offert une de bon coeur, joli coeur !

Bon, ceci dit, je vous laisse ; portez-vous bien Boul'delaine !
A bientôt, Richard.

6 novembre 2008 à 05 h 40  

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